Tik Tok, un réel atout ?

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On ne présente plus l’application tant on en a entendu parler. Tik Tok est aujourd’hui un mastodonte en termes de réseaux sociaux. Ayant connu un boom considérable tout au long de cette crise sanitaire, la plateforme a vu son nombre d’inscrits se multiplier en l’espace de quelques mois.

C’est aujourd’hui devenu l’un des meilleurs moyens pour promouvoir sa musique mais aussi pour découvrir de nouveaux talents. Les nombreux challenges et vidéos présentés sur l’app ont fait émergés de nombreux artistes, ou, le cas échéant, fait revenir à la mode des sons d’antan.

 

 

Mais alors, comment fonctionne Tik Tok ?

On le rappelle, Tik Tok est une application pour smartphones, née en septembre 2016, qui fonctionne sur un format de 3 minutes. Des minutes durant lesquelles vous pouvez créer du contenu humoristique, dansant, ou tout simplement des challenges. Une musique devient virale sur Tik Tok lorsqu’elle est reprise par un grand nombre de personnes. Les utilisateurs ont la possibilité de télécharger des musiques ou de se servir de celles présentes sur l’application.

Ce qui fait particulièrement émerger les nouveaux artistes, ce sont les challenges. C’est d’ailleurs ainsi qu’a exploser Foushee (cf notre focus sur l’artiste). Le principe du challenge est tout simplement de réaliser une chorégraphie ou une action initié par un utilisateur, les autres le trouvent « cool » et décident donc de le reproduire. La musique devient virale et l’artiste est alors tendance.

La base de données de Tik Tok centralise plusieurs milliers de titres adaptés à tous les goûts. En ce qui concerne les musiques ayant retrouvé un peu de leur superbe sur Tik Tok, on compte « Love Story » de Taylor Swift, « La Bonne du curé » d’Annie Cordy ou encore « What the hell » d’Avril Lavigne.

Ce qui est intéressant, c’est le côté addictif et sans fin de la plateforme. De plus, l’algorithme est conçu de telle façon qu’on y découvre chaque jour de nouveaux titres et artistes. Fort de son succès, les artistes ont compris l’importance de Tik Tok et la façon dont le réseau permet une audience plus large. On pense notamment à Jason Derulo, Ava Max, Lil Nas X ou Megan Thee Stallion.

On pourrait alors croire, au premier abord, que Tik Tok est une application réservée aux jeunes, mais détrompez-vous, Près de 40% des utilisateurs ont plus de trente ans ! Avec plus de 689 millions d’utilisateurs actifs en Janvier 2021, Tik Tok fait partie des 7 réseaux sociaux les plus utilisés au monde. Le 15 juillet 2021, nous apprenions que TikTok avait passé le cap des 3 milliards de téléchargements à travers le monde. C’est la première fois qu’une application n’appartenant pas au groupe Facebook réussit cet exploit.

Pourquoi est-ce qu’on vous parle de Tik Tok ?

Tout simplement parce que c’est l’une des applications les plus en vogue actuellement !

Mais surtout car c’est la musique qui fait de Tik Tok ce qu’elle est aujourd’hui. Une majorité des sons qui sont joués sur l’app le sont plus que nulle part ailleurs, même sur Spotify ou Apple Music. La plupart des gens passent plus de temps cumulé sur Tik Tok que sur tous les autres réseaux sociaux. En moyenne, les utilisateurs passent 52 minutes par jour sur Tik Tok. Ce qui est intéressant c’est de voir l’impact que peut avoir la musique lorsque son écoute est décuplée et internationalisée.

De plus, en tant que curateur, il est essentiel pour nous de découvrir de nouveaux artistes et tendances afin de répondre au mieux aux diverses demandes de nos clients. Tik Tok étant le meilleur moyen de toucher les fans de musique et étant aujourd’hui devenu un véritable dénicheur de talents…ou pas !

La découverte musicale est, en tout cas, au cœur de l’identité de Tiktok. Les jeunes artistes l’utilisent énormément afin de promouvoir leur musique à une audience immensément plus large en téléchargeant simplement leurs chansons sur la plateforme. L’application a le don de rendre des chansons d’artistes relativement inconnus virales du jour au lendemain.

Il est donc tout naturel que Tik Tok fasse sensation auprès des labels et maisons de disques qui souhaitent promouvoir leurs artistes. Tout ce qu’il faut, c’est savoir se démarquer !

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La musique est aujourd’hui perçue comme l’antre d’une créativité des plus profondes, de la production à l’interprétation, le monde qui y gravite a toujours fasciné le plus grand nombre. Il a été longuement prouvé que la musique avait également, en retour, des vertus stimulantes à la productivité et la créativité.

C’est une question intéressante à se poser tant la musique fait partie de notre vie quotidienne et ce, même au travail. Tout comme l’art décore l’espace, la musique décore le temps. Tout le temps que nous passons à travailler sur des ordinateurs et autres gadgets technologiques, est souvent accompagné de musique: sans doute une façon de rendre la journée moins longue et ennuyante tout en travaillant.

Pour mieux comprendre le lien entre musique et productivité, il faut prendre en compte plusieurs choses.

Tout d’abord le fait que l’impact de la musique sur notre travail dépend du taux d’immersion que demande la tâche mais également un détachement par rapport à la musique jouée. Lorsqu’une tâche est assimilée et répétitive, les recherches prouvent que la musique est d’une grande aide. Elle produirait même plus de bonheur au travail. Des études plus modernes menées par Teresa Lesiuk, spécialiste en thérapie musicale et chercheuse prouvent que cette impact est lié aux liens affectifs avec certains sons et non à la musique en elle-même.

 

En France, plus de 80% de la population estime que la musique au travail booste la productivité selon une étude menée par LinkedIn en 2017.

D’autre part, de nombreuses études ont révélé que lorsqu’il s’agit de masquer le bruit ambiant alentour, les sons dits « naturels » (bruits de vagues, bruits de pluie…) augmenteraient également la capacité à se concentrer. Les bruits de fond assez doux sont en effet à privilégier lorsqu’il s’agit de concentration.

 

La présence de paroles peut parfois être distrayante, surtout lorsqu’on doit se focaliser sur une tâche ou une réflexion bien précise. Elle empêche la stabilité. C’est d’ailleurs souvent la nuisance sonore liés aux bruits des collègues que l’on tente d’oublier en musique.
De même, la musique chantée peut s’avérer nuisible lorsqu’on réalise une tâche écrite.

 

Mais alors, quels types de musique sont à privilégier ?

Bien que la musique qu’on apprécie personnellement reste le choix de prédilection pour beaucoup, cela varie souvent d’une personne à l’autre. C’est pourquoi il vaut parfois mieux commencer par définir une ambiance sonore.

L’important est que cela ne vous demande pas d’attention particulière, il est assez intéressant de varier les genres en gardant une même dynamique : celle de la légèreté. Jazz, Hip Hop, Alternative, Indie Pop et tout ce qui peut rester dans l’ambiance est une possibilité. L’environnement que l’on crée à travers la musique a un impact sur nos comportements, c’est pourquoi il faut tester et varier afin de trouver l’harmonie parfaite.

Chez midi, c’est une grande partie de notre travail, réussir à mettre en place la playlist, les conditions et les rythmes parfaits afin qu’il ne vous reste plus qu’à appuyer sur Play ! Nous sommes heureux de mener cette mission à bien en collaborant avec des groupes qui portent une attention particulière au bien-être de leurs clients ainsi que de leurs salariés; des groupes qui considèrent la musique comme un prisme important. Le parfait exemple client pour illustrer cet article, c’est indéniablement le groupe Morning. Créateurs d’espaces de coworking et de travail à Paris, le groupe nous fait confiance pour la direction musicale de tous ses espaces afin que chacun puisse passer une bonne journée de travail. Tout est pensé pour booster la productivité et le bonheur au travail.

L’essentiel c’est que la musique est aujourd’hui un élément essentiel qui augmente la productivité. Suivez simplement ses notes !

 

 

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“D’accord très bien mais si je fais appel à vous, dois-je payer la SACEM ?”

“En termes de droits, comment ça s’passe ?”

Ces interrogations de nos prospects sont un grand classique du genre et elles sont parfaitement légitimes tant cet aspect n’est d’une part pas particulièrement limpide pour le grand public et d’autre part parce qu’avec un parc de boutiques conséquent, le budget concernant ces institutions peut vite être important.

 

La SACEM 

Reprenons depuis le début.

La SACEM est une société privée à but non lucratif créée en 1851 qui a pour but de collecter des droits dus aux auteurs (ceux qui écrivent les paroles d’une chanson), compositeurs (ceux qui écrivent la mélodie d’une chanson) et éditeurs d’une oeuvre (ceux à qui appartiennent les écrits d’une musique, en d’autres termes les partitions).

Prenons par exemple l’une de nos chansons préférées chez midi : “Allumer le Feu”.

Les compositeurs sont Pierre Jaconelli et Pascal Obispo, l’auteure est Zazie, les éditeurs sont Pilotis et Larsen SARL, le producteur est Mercury et les interprètes, Johnny Hallyday et Pascal Obispo. Effectivement, les chœurs qui accompagnent Johnny sont chantés par Pascal Obispo et d’autres chanteurs. D’après le site de la SACEM, il est cependant le seul crédité avec Johnny. Pas fou !

Pour faire simple, chaque fois que vous utilisez une musique dans votre boutique/hôtel/ restaurant/bar/spa…, vous êtes diffuseur et devez donc rémunérer chaque personne ayant participé à sa création. Vous devez donc vous acquitter de la redevance SACEM. Celle-ci se présente sous la forme d’un forfait en fonction du nombre d’employés travaillant sur le site que vous avez à sonoriser pour une boutique et en fonction de votre nombre de chambres pour un hôtel. Notez que ce forfait est réduit si vous faites votre déclaration avant le passage d’un agent de contrôle de la SACEM. (Pour une boutique de 1 à 2 employés en 2020, 142,46€HT contre 178,07€HT si vous vous faites “attraper”)

S’il nous est aujourd’hui impossible de collecter ce forfait au nom de la SACEM, nous pouvons cependant vous aider dans vos démarches.

Et la SPRE…la quoi ?

 

La Société pour la Perception de la Rémunération Équitable

La SPRE, dont vous avez peut-être déjà entendu parler, collecte des droits voisins en France. Elle rémunère les interprètes et les producteurs. Elle est créée en 1985 pour entre autres, que les interprètes (Johnny ou Céline Dion par exemple) puissent toucher des droits dits “voisins” sur la diffusion de leur titre ce qui n’était pas vraiment le cas avant cette date.

En tant que diffuseur, vous devez également payer un forfait annuel : de 1 à 2 employés, 95,31€HT. La plupart du temps, c’est la SACEM qui perçoit le règlement de ce forfait avant de le reverser à la SPRE.

A noter que les réseaux de plus de 10 établissements, vous pouvez bénéficier de réductions. Là encore, nous pouvons contacter SACEM et SPRE pour vous.

 

 

Et midi dans tout ça?

N’ayez crainte, tout le monde y passe, nous sommes aussi assujettis à un versement annuel de droits. En tant que sonorisateur, nous avons contracté avec deux sociétés (la SCPP et la SPPF) qui collectent également des droits voisins (la reproduction, la communication au public…) à destination des producteurs de musique (maisons de disques ou labels).

Contrairement à une utilisation pour une publicité télé par exemple, nous n’avons pas besoin de demander à chaque ayant droit des musiques que nous diffusons une autorisation. Dans les faits, cela nous arrange bien puisque pour vous proposer une quantité suffisante de musique, il nous serait quasiment impossible de demander tous les mois les autorisations à chaque ayants droits des titres que nous sélectionnons minutieusement pour vous.

Pour information ces droits sont conséquents puisqu’ils représentent 15% de notre chiffre d’affaires annuel.

“Nous supportons les artistes en découverte”

Ils sont notre pain quotidien, ils représentent les pépites que nous dénichons pour vous et qui rendront l’expérience de vos clients ou de vos guests si particulière et distinctive. Nous voulons parler de ces artistes encore trop méconnus et qui, pour la plupart, ont bien du mal à dégager du profit de leur créativité. Pour les aider, nous nous engageons si vous le souhaitez, à vous fournir la liste des titres qui auront été diffusés tout au long de l’année chez vous. Quel est l’intérêt ? C’est très simple. Chaque année, la SACEM collecte auprès des lieux publics qui diffusent de la musique plusieurs dizaines de millions d’euros qu’elle répartit ensuite au mieux, parmi les créateurs des œuvres diffusées. Le plus souvent cependant, les boutiques, hôtels, bars et autres lieux de vie sont dans l‘impossibilité de lui remettre la liste exhaustive des musiques qui ont été diffusées. Dans ce cas-là, les forfaits SACEM sont répartis entre “les plus gros” artistes. Ceux qui sont le plus diffusés, le plus joués, le plus suivis, etc…

Ainsi, il est possible que Johnny Hallyday (ou David ou Laeticia ;)) touche des droits pour avoir diffusé dans votre espace alors que vous ne vous serez peut-être pas enflammé sur “Allumez le Feu” cette année-là. Chez midi, nous faisons le maximum pour que les artistes soient rémunérés le plus justement possible.

Et si je ne veux pas payer la SACEM ?

Vous pouvez. Cependant, vous ne pourrez diffuser aucun artiste membre de la SACEM. Dans les faits, il faudra donc vous tourner vers des diffuseurs utilisant de la musique dite, libre de droit (donc inconnue).

Chez midi, nous assumons le fait de ne pas vouloir travailler avec ce type de musique pour différentes raisons :

  • Même si la qualité s’améliore d’années en années, elle n’est selon nous pas encore à la hauteur des artistes membres de la SACEM en termes d’orchestrations, de mélodies et de productions.
  • Selon toujours, les musiques libres de droits manquent clairement de personnalité, de cachet, de prise de risque, etc…
  • Enfin notre passion et ce qui nous tire du lit tous les matins est la musique et le fait de véhiculer des émotions grâce à elle. Selon nous et compte tenu du fait qu’il nous faut fournir une quantité relativement importante de musique, il nous semble quasiment impossible d’évoquer des souvenirs à vos clients à travers des titres qu’ils ne connaissent pas.

 

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Au départ simple élément de distinction matérialisée par un nom propre, un mot, une expression ou un symbole visuel, la marque est devenue produit. Un produit à promouvoir.

 

Dès sa naissance, la marque tente de comprendre ses clients pour tisser un lien étroit avec eux et obtenir peu à peu leurs adhésions. Rappelons que la tâche n’est pas mince. Les missions d’une marque sont multiples : exprimer ses valeurs et son histoire, son savoir-faire, son expertise, son engagement, qui contribuera à aider le consommateur dans son choix. C’est donc à l’issue d’un travail de positionnement, d’assurance et réassurance, que la marque existe.

Dans un environnement concurrentiel toujours plus intense, la marque doit parfaitement comprendre son audience afin de l’appréhender et lui transmettre un message clair et valorisant. Elle joue aujourd’hui un rôle central dans le processus d’achat et est parfois plus importante que le produit en lui-même. Nous achetons aujourd’hui autant le produit que l’image qu’il renvoie !  

 

Ces bouleversements poussent les marques à une course effrénée à la distinction où le marketing sensoriel et le brand content devient une évidence. Créer de l’expérience via du contenu sans avoir à pousser directement à l’achat. Mais alors, qui mieux que la musique pour transmettre des valeurs, une image et des émotions ! C’est un élément clé ayant permis aux playlists et aux podcasts de se développer considérablement, et ce notamment pendant la crise sanitaire actuelle. 

 

C’est précisément à ce titre que la théorie du rapprochement de l’anthropologue et ethnomusicologue Alan P. Merriam est éclairante. Il décrit les fonctions de la musique, parmi lesquelles: le plaisir esthétique, la faculté de divertissement, d’influence sur les comportements, la représentation symbolique, et surtout le vecteur d’émotion. 

Ces fonctions sont les mêmes que celles de la marque qui peut ainsi valoriser son identité par l’utilisation de la musique. Elle transporte des sentiments, des idées et de l’information !

 

Les marques ont surtout tendance à miser sur les visuels plutôt que le branding audio ou encore la création de contenus liée à la musique. Elles s’attellent à la création du logos, des couleurs, des produits tandis qu’un bon branding n’est pas uniquement en rapport avec ce que les consommateurs peuvent voir. La musique, au même titre que la mode ou le divertissement, fait aujourd’hui partie intégrante de la vie des consommateurs et est une forme d’expression. C’est un axe qui ne devrait pas être sous-estimé tant il peut apporter du plus à votre marque.

La musique apporte des valeurs supplémentaires auxquelles vos clients peuvent s’identifier. Ils l’utilisent déjà quotidiennement pour renforcer leurs propres identités. L’utilité, c’est d’atteindre le client et susciter ses émotions. C’est une manière de dire à vos consommateurs que vous les comprenez, sans avoir besoin d’en faire un message publicitaire. Cela génère de la sympathie et ajoute du contenu relayable par votre audience.

 

Malgré tout, nombreux sont les clients qui doutent de son efficacité.

À cela, nous répondons que la musique est un langage universel et que si, en tant que marque, vous parvenez à trouver votre empreinte sonore, vous aurez des résultats tangibles et surtout, vous parviendrez à toucher une audience plus grande.

 

Il existe une connexion entre les sons et la mémoire, c’est ainsi qu’un son  peut nous rester en tête des jours entiers. L’ouïe étant l’un de nos sens les plus allusif, les sons peuvent changer ce que nous ressentons, nous rappeler quelque chose d’important ou même nous convaincre d’agir. 

 Une étude effectuée à l’échelle mondiale par le groupe Havas a prouvé qu’une stratégie musicale pertinente a un impact global positif sur l’approche marketing de tout annonceur.

 

73% des gens pensent que les partenariats musicaux améliorent l’image d’une marque, 70% estiment que cela permet à une marque de se démarquer de ses concurrents tandis que 62% affirment que cela les encourage à s’engager avec la marque. Pour mener à bien cette stratégie, il faut cependant définir des objectifs clairs et comprendre son audience.

 

 

 

Pourquoi faire appel à une agence alors qu’il y a Spotify ou Apple Music ?

Les brand manager qui nous contactent se posent souvent cette “légitime” question. La réalité, c’est que diffuser de la musique populaire ou que vous aimez personnellement, ce n’est pas du branding musical mais de l’habillage. Ce n’est en aucun cas un levier de différenciation. De nombreux retailers ont pour habitude de laisser leur staff choisir la musique, ce qui crée une incohérence souvent désagréable à l’oreille. Il est essentiel d’arriver à trouver l’accord parfait entre la musique et votre audience.

Les possibilités sont multiples avec midi: de la simple playlist à de véritables expériences sonores en boutiques, hôtels et bureaux. Comme pour toute création de contenu, l’important est d’être actif, de se renouveler, de faire des tests… 

C’est précisément notre expertise (cf article sur notre métier). Ensemble, nous créons votre ADN musical, la musique de votre marque et vous aidons à le décliner sur l’ensemble des points de contacts qui vous lient à vos clients. Cela permettra d’ancrer votre positionnement et renforcer l’empreinte émotionnelle de votre marque. 

La musique est en effet un formidable axe d’expérimentation pour les marques, elle complétera parfaitement la stratégie, et ce, à moindre coût.

Ensemble, faisons de votre marque une formidable machine à séduire !



Ensemble, faisons en sorte que cette année compte

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UNE ANNÉE DIFFICILE QUI S’ACHÈVE

Si l’épidémie de Coronavirus a vu ses premiers cas annoncés en décembre dernier en Chine, le reste du monde semblait encore peu concerné par le virus.L’année 2020 avait d’ailleurs plutôt bien commencé pour certains de nos clients. Selon une enquête de l’Insee, la fréquentation hôtelière était en hausse de 5% et 6% en janvier et février par rapport à la même période en 2019.

Malheureusement, la crise sanitaire a eu un impact sans précédent sur les secteurs du tourisme, de l’hôtellerie et du retail.

Il a donc été essentiel pour ces professionnels de la relation client de revoir leurs pratiques en termes d’expérience client et de nouvelles techniques de ventes. Entre la présence web à accroître, les réseaux sociaux et la gestion logistique des voyageurs et clients, les entreprises doivent aujourd’hui miser sur des leviers possibles de distinction. La fréquentation des hôtels en France a baissé de 73% en juin 2020 par rapport à l’an 2019 selon une enquête de l’Insee, tandis que les commerces se sont vus ralentis et obligés privilégier le e-commerce et donc de faire face à Amazon et autres spécialistes...

 

Ajoutons à cela un reconfinement qui tombe à un moment clé pour les commerces et nous voilà face à une fin d’année 2020 des plus noires.

Place maintenant à 2021, au futur,à l’espoir, au dynamisme, etc…La frustration ressentie par les consommateurs durant cette période si spéciale devrait les rendre nostalgiques de ce petit rituel qu’est le shopping en magasin. Pour se préparer à un retour des plus confiants, les retailers et hôteliers doivent mettre les bouchées double sur l’expérience en magasin qui joue un rôle clé pour les clients dans le processus d’achat.

77% des consommateurs français fréquentent à nouveau les commerces dits « non essentiels » et ce pour leurs plus grands plaisirs.

Les consommateurs reprennent le chemin de la normalité avec des nouvelles attentes et une attention particulière portée sur le prix, l’hygiène et l’engagement numérique. Il faut se montrer plus attractif et cela passe par la dynamisation du point de vente de façon créative : pop-up store, expériences sensorielles, click & collect, avantages clients…

Les consommateurs misent sur l’interaction et privilégient désormais la qualité du service par-dessus tout.

En ce qui nous concerne, nous avons pu remarquer que le rôle de la musique a pris une ampleur importante grâce et à cause de l’épidémie. Plus de concerts, plus de sorties, plus de contact avec l’extérieur, le manque crée l’envie et la musique reste vraisemblablement un lien social important dans lequel nombreux aiment se réfugier. De nombreux chercheurs l’affirment et tentent de comprendre comment et pourquoi la musique à un tel impact sur les consommateurs.

 

«La musique est un peau à peau sonore, c’est une caresse. Elle peut réguler notre humeur, modifier la biochimie de notre cerveau, et notamment réguler la sécrétion du cortisol, hormone de stress. On peut vraiment reprendre le courage et se sentir revitalisé. La musique est une super médecine non-invasive.» - Emmanuel Bigand, chercheur en neurosciences à l’Université de Bourgogne

 

L’expérience sensorielle est de plus en plus sollicitée par les commerçants. Plus que jamais, les consommateurs vont vouloir créer du lien, discuter, échanger et consommer. La reprise s’annonce difficile et longue, surtout pour les boutiques et hôtels de luxe, qui sont aujourd’hui nos principaux clients. Beaucoup d’entre eux profitent d’ailleurs de cette période “creuse” pour nous interroger sur la création d’ambiance musicale et sonore, sujets qu’ils n’ont habituellement pas vraiment le temps de traiter.

Nous en sommes évidemment très contents.

Chez midi, nous savons et nous comprenons la dureté de la situation. Nous savons également que les leviers d’un retour à une activité normale sont nombreux et fortement souhaités par les consommateurs qui n’ont pour seul but de retrouver un train de vie normal et de pouvoir “voyager” librement. Nous sommes optimistes et nous croyons en ce que nous aimons appeler : Le rebond.

Nous croyons au fait que 2020 nous ait fortifiés. Une année, certes terrible, difficile et effrayante mais qui nous oblige aujourd’hui à voir plus grand, à changer pour le meilleur, à être encore plus créatifs. Ainsi, nous avons imaginé pour nos clients et prospects de nouvelles interactions entre leur clients, leur staff et la musique. Des techniques inédites, innovantes et spécifiques. Nous privilégions le dynamisme, la créativité et la confiance en l’avenir. Travaillons ensemble pour incarner ce changement. Une année des plus importantes, celle de la reconstruction.

À 2021, au renouveau, aux boutiques bondées, aux vacances, aux petits commerçants, aux hôteliers, aux célébrations, aux artistes, aux concerts...

 

 

 

 

 

 

 

 

La musique en boutique, une équation à trois inconnues

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Jadis le carillon, aujourd’hui le portique qui sonne parce que votre client n’a pas coupé l’étiquette Monoprix de son manteau… L’arrivée dans un point de vente est marquée par des sons mais aussi évidemment un décor, des couleurs, une odeur. Ces influences créent délibérément une atmosphère à votre boutique et associe une image à votre Marque. Cette première impression est capitale dans l’expérience shopping proposée à vos clients.

Inutile ici, de revenir sur l’importance de diffuser de la musique, à minima pour briser un silence pesant, couvrir le ronronnement de la climatisation, et au mieux créer une expérience sensorielle marquante.
Vient alors la question « À qui doit plaire la musique? Qui faut-il satisfaire? ».
Évidemment vous (les marques), mais aussi vos clients (consommateurs) sans oublier vos employés qui restent vos premiers ambassadeurs.

 

Nous voici donc avec une équation à trois inconnues:
La marque présidentielle, le client roi, et le staff relationnel.

 

Pour le siège, le souhait est le plus souvent limpide: la musique doit ressembler à sa marque, son ADN, ses collections ainsi qu’au profil type de ses cibles marketing. A contrario, la quantité de musique n’est pas une “obsession” pour l’enseigne qui préfèrerait des playlists sharp et proches du message souhaité.

Pour vos clients, la playlist idéale conjugue une sélection en adéquation avec l’image qu’ils ont de la marque, mais également certains de leurs coups de coeur du moment.

 

“Avant, on nous envoyait un CD par collection;
en boutique on devenait dingues”

 

Les conseillers de ventes souhaitent quant à eux de longues playlists pour éviter la redondance, et en terme de style, le leur! Ils adoreraient bancher leur iPod et se passer de nos services… Mais, fort de nos années d’expérience, nous avons assimilé l’importance de leur implication en mettant à leur disposition deux features: 1/ la possibilité de donner son avis (via des boutons like/dislike) et 2/ un calendrier de programmation des playlists pour adapter au mieux la musique au style de la boutique, son rythme de vie ainsi que leurs goûts personnels. Une autonomie maîtrisée.
Investir votre staff dans l’habillage musical de vos points de vente a plusieurs vertus. D’abord, qu’ils adhèrent au projet, qui plus est, quand celui ci est nouveau, et également qu’ils apprécient leur lieu de travail. A une époque où le bien être au travail est au coeur des problématiques des entreprises, cela semble essentiel. Un staff heureux état bien souvent un staff plus performant, difficile de ne pas aller dans ce sens.

Difficile malheureusement, de satisfaire l'ensemble de ces acteurs tout en restant cohérent. Nous nous efforçons néanmoins de toujours garder l'ensemble de ces velléités au moment de concevoir nos playlists pour essayer de rassembler toutes ces personnes autour d’une playlist, la Leur.

Le fruit de nos créations est donc une playlist qui:

  • respecte votre concept de Marque,
  • propose une quantité de musique suffisante pour éviter la lassitude (de votre force de vente),
  • mise sur un renouvellement régulier des playlists
  • intègre des titres évocateurs et rassurants pour créer de l'émotion et du souvenir lors des expériences shopping de vos clients

 

Challenge accepted!!

 

Thanawat Sakdawisarak pour WWD New York

Trop de playlists tue la playlist!

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Créées par ses propres goûts ou en suivant ceux des autres, anciennement sous forme de CDs ou cassettes, pour un besoin spécifique ou récréatif, les playlists apportent un moyen propre d’apprécier et de découvrir la musique. Pour soi-même, pour quelqu’un de spécial ?, ou plus particulièrement pour une utilisation professionnelle, elles nous accompagnent dans nos quotidiens et sont le symbole de nos nouveaux modes de consommation.

 

L’exposition à la musique est perpétuelle. Exception faite des – très en vogue – retraites bien être où la méditation silencieuse est de mise, il est quasiment impossible de passer une journée sans écouter, entendre ou subir de la musique. Grâce à la dématérialisation, chacun peut aujourd’hui créer et façonner sa liste de lecture, la nommer et la partager ! C’est ainsi que chaque jour, des milliers de playlists sont élaborées, par des millions d’utilisateurs mais aussi et surtout, générées par des robots nourris de nos habitudes d’écoutes.

 

Share moi tes playlists, je te dirai qui tu es.”

 

Depuis toujours, la musique permet de véhiculer des émotions et crée des affinités entre les individus. Le succès actuel des playlists devient un mode de vie, allant même jusqu’au rapprochement social et aux rencontres basées sur les playlists que nous apprécions. Le “Playlistime” ou l’art de juger quelqu’un sur la base de ses playlists, en est probablement une première dérive… (clin d’oeil).

 

 

Malheureusement, lorsque ce besoin de playlist devient une nécessité business (lieux, hôtels, boutique, bars..), l’utilisateur se retrouve souvent perdu dans des catalogues, certes riches, mais surtout déstabilisants de grandeur. La multitude de playlists créées pour des ambiances – de plus en plus – spécifiques donne lieu à des “Matin Type 3”, “Tea Time des deuxièmes samedi du mois” ou encore “Apéro Chill au Prosecco”. (Une pénurie de Prosecco compromettrait alors fortement sa légitimité :)) L’embarras du choix ou comment finir noyé dans une offre démesurée…

 

Pour une marque, un lieu, la sélection musicale peut facilement devenir un casse-tête. Le choix pléthorique rend la tâche laborieuse. S’attacher les services de midi vous garantit des playlists précises, efficaces, en accord avec vos valeurs et qui transmettent un message clair à vos clients. Chez nous, l’accent est mis sur la qualité (vs. la quantité) et sur le renouvellement fréquent des playlists… Le remplissage? Très peu pour nous. Chaque titre est ainsi délicatement sélectionné par nos directeurs musicaux avec rigueur et passion (voir notre article sur notre métier de curateurs musicaux).

 

Dans un futur plus ou moins souhaitable, les ordinateurs seraient en mesure d’interpréter les émotions de chacun, permettant à leurs algorithmes de créer des playlists “parfaites”. Cependant et malgré les progrès considérables de ceux-ci, l’oreille humaine demeure toujours plus affûtée pour distinguer l’émotion d’une voix, l’énergie d’un clavier, le groove d’une basse… (Ouf! :)) Chez Midi, nos directeurs artistiques consacrent la majorité de leur temps à dénicher ces perles rares pour les playlists de leurs clients.

 

Notre mission de traduire les besoins de nos clients en sélections musicales est un travail qui oppose la quantité à la qualité. Notre parti pris est de conserver un nombre limité de playlists à nos clients ainsi que des sélections de tailles raisonnables. Transmettre des émotions nécessite de la précision et du temps, rien d’autre!

La recherche musicale, un vrai métier, le nôtre!

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“On va gérer seuls la partie musique, j’ai un ami qui est passionné. Il va tout le temps à des concerts. Il va nous faire une playlist sur Spotify, ça sera très bien!”

A peu de choses près, nous avons déjà entendu ce type de phrases de la part de prospects...

Si ces modes de fonctionnement peuvent convenir pour les quelques premières semaines d’ouverture d’un réseau de boutiques ou d’un lieu de vie, il est rare que la personne désignée pour “trouver de la musique” puisse, de façon récurrente et avec la même précision, vous fournir une quantité suffisante de musique en accord avec votre ADN.

“Trouver de la musique” relève chez nous d’une activité artisanale appelée “curation musicale”. Si l’on se réfère à l’étymologie du mot “curation” (du latin curare:  prendre soin), on entend qu’il est une activité de passion et de patience. La curation, musicale donc, est le coeur de notre processus créatif et se traduit par un travail manuel et minutieux. En effet, c’est avec un casque audio vissé sur la tête que nous passons nos journées à traduire des briefs artistiques, des mood boards, des concepts et plus généralement des images de marques, en musique.

Ces briefs artistiques sont les éléments centraux de l’élaboration de l’identité musicale d’une marque. Le client nous transmet des éléments liés à sa plateforme de marque (son identité, sa mission, sa vision, sa cible, ses valeurs, ses promesses,...) et plus globalement des éléments de sa stratégie. Les curateurs midi s’en imprègnent avant de les traduire en musique et ainsi créer le “territoire sonore de la marque”... (Un prochain article se penchera sur les différentes interprétations possibles.)

Pour toujours être en mesure de traiter un brief artistique, nous nous devons d’être en contact permanent avec l’actualité musicale. C’est ainsi que, nourris de newsletters, de podcasts, de relations avec les maisons de disques, de presse papier (is not dead !), de bouche à oreille, de recommandations DJs, de concerts, de blogs, de tops Shazam, tops Spotify, de recherches infinies sur des plateformes de musiques, et surtout d’une passion dévorante… c’est ainsi donc, que nous sommes en mesure d’accompagner nos clients le mieux possible grâce à notre vaste connaissance des musiques d’hier: pour cela, nous nous appuyons sur nos immenses bibliothèques musicales, façonnées au terme d’années d’écoutes quotidiennes et qui ont une immense valeur. Nous accompagnons évidemment aussi nos clients grâce à notre connaissance de la musique d’aujourd’hui et également de demain! A propos, loin d’être omniscients sur l’ensemble des styles musicaux existant, nous savons également où digger (creuser) pour parvenir à nos fins et le cas échéant, nous avons identifié des spécialistes que nous n’hésitons pas à solliciter pour nous aider dans la recherche musicale (de styles très spécifiques).

Notre exercice d’écoute quotidienne de musique pourrait s’apparenter à une routine. Elle n’en est cependant pas moins méthodique. Au fil des années, nous avons habitué nos oreilles et nos cerveaux à rapidement classifier un morceau dans une case, un style, une image, une émotion, un genre et bien sûr une cible marketing. Cette gymnastique mécanique nous permet de traiter de grandes quantités de médias pour en extraire un nectar nommé playlists. Certes, notre capacité humaine n’ira jamais à la vitesse d’algorithmes qui génèrent automatiquement des milliers de playlists mais dans la mesure où nous souhaitons transmettre des émotions par la musique, nous préférons justement nous appuyer sur des recherches purement humaines

Un autre exercice que nous réalisons également depuis des années est celui de la “schizophrénie artistique” 😉 Ainsi, nous savons sélectionner une musique parfaitement adaptée à une marque en laissant, le cas échéant, de côté, nos goûts personnels. Et pour garantir l’impartialité de nos choix, nous réécoutons systématiquement nos sélections entre directeurs artistiques . Ce double contrôle garantie l’alignement de la playlist avec le brief de marque.  

Enfin, et soucieux de garantir une expérience sensorielle marquante et cohérente à vos clients, nous vous invitons à nous solliciter et profiter de notre expertise pour augmenter l'empreinte émotionnelle de votre marque. Notre métier-passion est à votre service pour renforcer votre positionnement et accompagner votre stratégie globale.

Adrien & Charles

#midiagency #musicstrategy #identitemusicale #musicidentity

Notre philosophie

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Partout, tout le temps, la musique nous accompagne et nous suit. Avec l’explosion du streaming, son accès n’a jamais été aussi facile, et varié… Cette abondance est à la fois une chance et un danger: celui de s’y perdre !

L’importance d’une musique bien choisie (pour un lieu ou une marque) n’est plus à prouver. Plus que des émotions, elle transmet un message, des valeurs et a le pouvoir de fédérer un public. Bien maîtrisée, la musique améliore sensiblement la perception et la mémorisation d’une marque.

Dans un contexte de concurrence toujours plus forte, tous les points de contacts entre la marque et ses clients doivent être soignés. Plus encore, le lieu de vente doit se distinguer et créer un univers sensoriel unique. Il faut s’efforcer d’immerger le consommateur, lui raconter une histoire, le rendre acteur de son expérience. La musique est un axe sensoriel déterminant dans cette démarche.

Notre ambition est de bousculer le marché de l’identité musicale en proposant de nouvelles interactions musique / marque / clients. Nous développons une approche novatrice de ce métier, alliant avec la même précaution, un savoir faire artistique à une technologie innovante.

Véritables passionnés de musique, nous sélectionnons avec la plus grande rigueur la musique qui correspond à votre plateforme de marque ou à votre lieu, pour lui donner la plus grande résonnance possible. Un ADN musical est le résultat d’un travail de recherches artisanales, d’accompagnements personnalisés et d’un pilotage précis et quotidien. Il ne peut être le fruit de “simples” algorithmes.

Pour exploiter au mieux ce travail artistique, nous avons développé un outil inédit répondant à tous les besoins. Ergonomique, personnalisable et pilotable par les marques, il s’ouvre également au client final en boutique pour une expérience d’un nouveau genre. Comme évoqué plus haut, nous souhaitons redonner au point de vente un rôle central dans l’échange marque / client. A l’heure du « tout online », l’expérience in-store se doit d’être impactante et créatrice de valeurs. Notre double expertise répondra à ces problématiques pour créer, affiner et affirmer votre identité !

Pour finir, citons Platon qui nous confirme que « La musique est la langue des émotions »